C'est devant un public assez nombreux que le groupe d'altos "Altifolies" (et non "Altiphonia" comme une coquille nous l'avait fait baptiser) a donné son récital. Des musiciens passionnés, déterminés qui se sont fait plaisir et par ricochet ont fait plaisir au public. Entamé sur le chapeau des roues par le "Dream" de John Cage, notre plaisir n'a fait que croître pendant la bonne heure de musique qui nous était ainsi offerte.
Après "Quaterbach", la très intéressante composition de Didier Lacombe, retour dans le temps avec le bel adagio de la 3ème sonate pour violon seul de Johann-Sebastian Bach dans une habile transcription de Alain Dautry. Puis les harmonies du célèbre "West side Story" de Léonard Bernstein, résonnèrent sous les voûtes de Saint-Paul : ce fut tour à tour "Maria", "Tonight", "One hand one heart", "I feel pretty", et "Somewhere". Dans un registre plus sombre, l'ensemble interpréta avec brio la "Symphonie à deux" de Fiodjor Druschinin. Puis, clin d'oeil aux débuts des Dominicales de la saison dernière, le public se régala avec quelques "Tangos" de Astor Piazzolla, transcris par Didier Lacombe : "Adios nonino", "Bando", "Contrabajeando", "Preparense".
Le moins réussi peut-être fut la transcription du "Boléro" de Maurice Ravel. Malgré l'enthousiasme et le savoir-faire des interprètes, il s'avéra difficile de faire éclater toute la magie bouillonnante de l’œuvre quand tous les instruments de l'orchestre se déchaînent et s'enchevêtrent pour éclater au final dans une sorte de feu d'artifice sonore. Mais les bis firent oublier ce manque d'ampleur et tous convinrent que ce fut une fois de plus un petit moment de paradis que cet excellent concert.
Le goûter qui suivit fut du même acabit : bonne humeur, fantaisie et beaucoup d'amitié. L'esprit des Dominicales existe bel et bien.
Après "Quaterbach", la très intéressante composition de Didier Lacombe, retour dans le temps avec le bel adagio de la 3ème sonate pour violon seul de Johann-Sebastian Bach dans une habile transcription de Alain Dautry. Puis les harmonies du célèbre "West side Story" de Léonard Bernstein, résonnèrent sous les voûtes de Saint-Paul : ce fut tour à tour "Maria", "Tonight", "One hand one heart", "I feel pretty", et "Somewhere". Dans un registre plus sombre, l'ensemble interpréta avec brio la "Symphonie à deux" de Fiodjor Druschinin. Puis, clin d'oeil aux débuts des Dominicales de la saison dernière, le public se régala avec quelques "Tangos" de Astor Piazzolla, transcris par Didier Lacombe : "Adios nonino", "Bando", "Contrabajeando", "Preparense".
Le moins réussi peut-être fut la transcription du "Boléro" de Maurice Ravel. Malgré l'enthousiasme et le savoir-faire des interprètes, il s'avéra difficile de faire éclater toute la magie bouillonnante de l’œuvre quand tous les instruments de l'orchestre se déchaînent et s'enchevêtrent pour éclater au final dans une sorte de feu d'artifice sonore. Mais les bis firent oublier ce manque d'ampleur et tous convinrent que ce fut une fois de plus un petit moment de paradis que cet excellent concert.
Le goûter qui suivit fut du même acabit : bonne humeur, fantaisie et beaucoup d'amitié. L'esprit des Dominicales existe bel et bien.
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